Sahel ! Tout y est solitude et dénuement. Le vent caresse mes cheveux, j’admire ce paysage hallucinant, complètement à l’opposé de ma séquestration dans l’autobus. Nous avançons dans le vide, sans aucun point de repère pour juger de notre progression. Seul le sable blanc dans cette lumière lunaire, lisse et aveuglant. Bientôt, le vent effacera nos empreintes, et le sol, de nouveau vierge, aura englouti toute trace de notre passage.

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Témoignage suite à mon expérience de coopérant.